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SOCIÉTÉ : plus d'infos
Author : Jivan 
33/47

Date :    10-03-2023 19:24:17



Quand les industries ont été délocalisées .... que disais-tu ?

Quand aujourd'hui des emplois sont proposés au "arrivants" aux salaires de misère, mais aussi afin de "casser" l'évolution de carrière des autochtones, que dis-tu ?

Je te vois dire comme Emmanuel Macron .... même combat ?

Author : AAAAclagazelle 
34/47

Date :    15-03-2023 13:24:56


les régimes par répartition sont déjà en voie de disparition.

1er point. Les régimes de retraites ne sont pas en déficit de 15 milliards d’euros mais commandent déjà pour leur fonctionnement plus de 30 milliards d’euros qui sont ponctionnés sur le budget de l’Etat. Cet argent va soutenir les régimes de retraite dans la fonction publique et indirectement les régimes spéciaux. Il est inscrit dans la loi de finances et voté chaque année par une majorité politique.

Or, quand un régime de retraite a besoin de 30 milliards par an pour fonctionner en équilibre, on ne peut guère parler d’un régime par répartition si un tiers de ses ressources lui sont allouées par le budget donc par l’impôt. C’est d’autant plus grave que l’État n’a pas ces 30 milliards. Il les emprunte.

2e point… certaines professions, tout en défendant le régime par répartition, n’ont pas été gênées par l’utilisation complémentaire de la capitalisation. C’est le cas des fonctionnaires qui ont plusieurs caisses de retraites fonctionnant sous la capitalisation dont la plus ancienne qui est la Prefon. Les syndicats de fonctionnaires n’en parlent pas mais ils protègent et cogèrent ces systèmes de retraite.

Le seul système de retraite qui est indépendant de subsides de l’Etat, c’est le système de l’Agirc-Arcco, qui bénéficie aux salariés du privé et qui est parfaitement géré. Il est bénéficiaire.
Sa spécificité est que c’est une retraite par points.
Système que le gouvernement avait songé généraliser à toutes les caisses. Mais cette idée a été abandonnée. Nul ne sait pourquoi ! La seule raison peut être est que la retraite par points exige la responsabilité de chacun au niveau de ses points. Alors tout ce qui relève de la liberté individuelle est suspect.


Author : FleF 
35/47

Date :    15-03-2023 16:08:24


Avis personnel ou encore un énième copier-coller ??? Si oui, sources ???
Author : Altec 
36/47

Date :    15-03-2023 18:32:50


p 55

2° point : la Préfon

Tu as déjà évoqué la Préfon il y a quelque temps.

L'avantage de la Préfon, c'est que les versements sont convertis en points qui ne perdent pas de valeur.

L'inconvénient, c'est que pour que ce soit intéressant, il faut commencer à cotiser le plus tôt possible dans la carrière, à un moment où les salaires sont les plus bas.
Or, les mensualisations sont très chères, de 20€ (pas intéressant) jusqu'à 570€/mois !

De ce fait, seule une petite partie des fonctionnaires, les mieux rémunérés, optent pour la Préfon.

Author : AAAAclagazelle 
37/47

Date :    01-04-2023 19:06:37


Réforme des retraites : les régimes spéciaux toujours bien au chaud

Contrairement à ce qui a été annoncé, la réforme des retraites n’est pas une réforme de justice… ni d’équité.

À quelques jours près, la loi de réforme des retraites aurait pu être adoptée le 1er avril… Dommage, car la farce inscrite au cœur de son article premier aurait mérité d'être au diapason du calendrier :

« Conformément à l'engagement présidentiel, précise l'exposé des motifs, cet article prévoit la suppression des principaux régimes spéciaux de retraite. »
Mais, rapidement, il est précisé que cette « suppression » ne doit concerner, en réalité, que les régimes des industries électriques et gazières (IEG) et de la RATP et quelques microrégimes, comme celui de la Banque de France ou du Conseil économique, social et environnemental (Cese).

Pas un mot, rien, sur les régimes des fonctionnaires, qui sont pourtant de très loin les principaux régimes spéciaux, par l'importance de leur taille mais, également, par le modèle qu'ils offrent à la plupart des autres régimes spéciaux du secteur public qui n'en sont qu'une reproduction à l'échelle réduite.
En définitive, les régimes censés être supprimés ne comptent dans leurs rangs que 7 % des affiliés de l'ensemble des régimes spéciaux. Pour ceux qui espéraient que la réforme soit fondée sur l'équité, comme cela avait été pourtant solennellement annoncé, il faudra donc repasser…

Clause du grand-père
D'autant plus que la plaisanterie ne s'arrête pas là, au contraire.
Par « suppression » des régimes spéciaux, il faut comprendre « fermeture »…
Cette subtilité sémantique signifie que la réforme ne s'appliquera pas aux affiliés actuels de ces régimes, qui bénéficieront de la fameuse « clause du grand-père », mais seulement aux futurs entrants.
La réforme ne portera donc au mieux ses premiers fruits qu'au bout d'une quarantaine d'années, ce qui nous amènera au milieu des années 2060. Mieux, ces régimes ne seront effectivement supprimés qu'à la mort du dernier affilié (ou de son conjoint survivant), ce qui nous envoie, cette fois, à l'aube du siècle prochain !
Sans rire, le gouvernement qui prétendait construire le « système de protection sociale du XXIe siècle » semble plutôt s'être attelé à celui du XXIIe siècle.

Il est toujours surprenant de constater à quel point, en France, les réformes des retraites sont à deux vitesses.
Dans les régimes de droit commun, les mesures s'appliquent immédiatement alors que, dans les régimes spéciaux du secteur public, elles ne s'appliquent que partiellement, ou alors qu'aux générations suivantes, non sans avoir fait, au préalable, l'objet de larges compensations.
C'est d'ailleurs ni plus ni moins ce que tentent de négocier en ce moment les syndicats, très peu représentatifs de l'ensemble des salariés français et, surtout, obnubilés par les seuls intérêts des agents publics.

www.lepoint.fr/economie/reforme-des-retraites-les-regimes-speciaux-toujours-bien-au-chaud-01-04-2023-2514524_28.php
Author : AAAAclagazelle 
38/47

Date :    01-04-2023 19:44:29


Usine à gaz en termes de financement

Reste que la fermeture très progressive de régimes spéciaux pose un épineux problème :
Comment continuer à financer pendant près de quatre-vingts ans les pensions et autres avantages maison, sachant que ces régimes, souvent, sont déjà sous perfusion du contribuable ?

Les rédacteurs de la loi de réforme des retraites ont bien conscience de ce défi puisqu'ils n'ont pas manqué d'alerter le législateur en précisant que la fermeture des régimes spéciaux en question « nécessitera […] de revoir le circuit financier de financement de ces régimes » et que « des travaux seront conduits en ce sens en 2023 dans la perspective du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2024 ».
Or ces travaux ont déjà commencé et, à défaut d'imagination, l'astuce consiste, ni plus ni moins, à « siphonner » les régimes de droit commun des salariés du privé, la Cnav et l'Agirc-Arrco, qui, plus que jamais, feront alors office de vache à lait au sein du système de retraite français.

Pour rappel, chaque année, près de 4 milliards d'euros sont déjà détournés des fonds de la Cnav pour alimenter d'autres régimes de retraite, dans un jeu de tuyauterie kafkaïen dont la complexité et le manque de légitimité ont été plusieurs fois pointés par la Cour des comptes.
Or l'idée est d'ajouter de nouveaux transferts improbables au sein de ce qui s'apparente déjà à une véritable usine à gaz.
Ainsi, tout au long du XXIe siècle, est-il prévu que les régimes de droit commun, dont les affiliés ont consenti les plus gros efforts dans le cadre des réformes successives, financent des régimes qui servent, au contraire, des prestations hors du commun, pour une génération d'agents qui aura été globalement très épargnée.
Évidemment, aucun principe ne peut justifier une telle « solidarité » à rebours qui n'a aucun équivalent dans les systèmes de retraite de nos voisins européens.

Pour mettre en place de tels montages, l'administration s'appuie sur le précédent de la SNCF qui est passé, ni vu ni connu, sans dérailler.
La fermeture du régime spécial de la SNCF a en effet été orchestrée dans le cadre de la réforme ferroviaire de 2018. Or les régimes de droit commun des salariés ont été invités à financer cette fermeture.
Pour le premier exercice (2020), le montant du transfert est faible puisqu'il s'est élevé à 10 millions d'euros, mais il a déjà quintuplé puisqu'il devrait atteindre 57 millions d'euros cette année et ne jamais cesser d'augmenter au cours des prochaines décennies.
En tout, plusieurs milliards sont appelés à transiter.

Ainsi, les régimes des simples salariés, avec leurs cortèges de smicards, financent déjà aujourd'hui la retraite de la SNCF et, demain, ce sera également celle du personnel de la RATP, des industries du gaz et de l'électricité et de la Banque de France.

Des régimes dans lesquels les carrières ont été globalement beaucoup plus courtes et où les pensions servies sont deux fois meilleures.

Tout ça, au pays de l'égalité, dans le plus grand silence des syndicats, qui, pourtant, n'ont pas trop de mal à se faire remarquer lorsqu'il est question de retraite…
Et, malheureusement, ce n'est pas un poisson d'avril !
Author : AAAAclagazelle 
39/47

Date :    05-04-2023 20:31:27


© AFP/Archives/Christof STACHE
Publié le 05/04/2023 à 18h41

La France compte 30.000 centenaires, dont une nette majorité de femmes, un nombre en forte hausse depuis les années 1960, indique une étude de l'Insee publiée mercredi.

Depuis les années 1960-1975, le nombre de personnes âgées de 100 ans ou plus a été multiplié par près de 30, constate l'Institut national de la statistique.

La probabilité de devenir centenaire a nettement augmenté au cours du temps: 0,9 % des femmes nées en 1900 sont devenues centenaires, contre 3 % de celles nées en 1922.

Cette tendance devrait se poursuivre. Parmi les personnes nées en 1940, 6 % des femmes et 2 % des hommes atteindraient l'âge de cent ans, selon les projections de l'Insee. La France pourrait ainsi compter 76.000 centenaires en 2040.

En 2070, leur nombre pourrait être compris entre 100.000 et 600.000, selon les différentes estimations, qui dépendent notamment de l'évolution de l'espérance de vie.

Actuellement, sur les 30.000 centenaires qui vivent en France, 86 % sont des femmes, précise l'Insee.

"À tout âge, la mortalité des femmes est plus faible que celle des hommes", rappelle l'institut. A partir de la soixantaine, en particulier, l'écart entre le nombre de personnes de chaque sexe se creuse: les femmes représentent 53 % des sexagénaires, 61 % des octogénaires et 73 % des nonagénaires.

Un peu plus d'une personne centenaire sur deux vit en institution. Parmi les autres, 33 % habitent seuls, 12 % sont logés avec une autre personne, la plupart du temps un de leurs enfants, et 4 % vivent en couple.

"La fréquence assez élevée de la vie à domicile pour les centenaires s'explique en partie par le fait qu'ils sont les moins fragiles de leur génération et donc les plus susceptibles d'être autonomes", détaille l'Insee.

Devenir centenaire est nettement plus fréquent chez les diplômés du supérieur, qui ont "en général un niveau de vie plus élevé, ce qui favorise leur accès aux soins", relève par ailleurs l'Insee.

Comparé au nombre total d'habitants en France, le nombre de centenaires reste toutefois "modeste": ils représentent 0,04 % de la population.

La France est le pays européen qui compte le plus de centenaires, selon l'Insee.
Author : Altec 
40/47

Date :    05-04-2023 20:48:21


"À tout âge, la mortalité des femmes est plus faible que celle des hommes", rappelle l'institut. A partir de la soixantaine, en particulier, l'écart entre le nombre de personnes de chaque sexe se creuse: les femmes représentent 53 % des sexagénaires, 61 % des octogénaires et 73 % des nonagénaires.

Pour rétablir l'égalité hommes-femmes, il conviendrait donc de relever l'âge de la retraite uniquement pour les femmes...

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