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SOCIÉTÉ : plus d'infos
Author : ARTYA 
1/56

Date :    31-05-2018 09:06:29


Notez ici toutes infos "SOCIÉTÉ" susceptibles d'intéresser les ovésiens et les commenter si vous le désirez
Author : AAAAclagazelle 
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Date :    08-06-2022 10:50:41


Pour Alain Bauer, « la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 est une folie criminelle »

La sécurité lors des Jeux olympiques est-elle garantie ? Pas sûr, si l’on en croit le criminologue Alain Bauer, professeur au CNAM et responsable du pôle sécurité, défense et renseignement. Invité de l'émission « C dans l’air » mardi 31 juin, il s'exprimait au sujet du fiasco sécuritaire du match Liverpool - Real Madrid.

Pour le spécialiste en sécurité, « la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 est une folie criminelle. Il n’y a rien du point de vue de la sécurité et de la sûreté des athlètes, des organisateurs et du public qui n’est envisageable sous cette forme-là. »

La France a en effet prévu d’organiser la cérémonie d’ouverture sur la Seine. Chaque délégation nationale se tiendra sur un bateau. Alain Bauer rapporte l’inquiétude de plusieurs experts en sécurité. Selon eux, il est impossible de sécuriser un tel événement. Il craint fortement « un drone kamikaze qui pourrait se faire exploser au milieu d’une foule sur la Seine ».

twitter.com/Cdanslair/status/1531569633752272896?ref_src=twsrc%5Etfw
Author : AAAAclagazelle 
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Date :    09-06-2022 17:05:57


"Du rêve au cauchemar", un couple empêché d'emménager en découvrant que sa nouvelle maison est squattée

Ils sont passés du rêve au cauchemar. Le 19 mai dernier, Élodie et Laurent ont signé les papiers pour l’achat d’une maison située à Ollainville dans l'Essonne en région parisienne. Une fête était prévue dans leur nouveau foyer pour arroser cette acquisition. Mais problème : à l’intérieur, ils découvrent une famille, un couple et quatre enfants, qui refuse de partir.

“Nous sommes tombés nez à nez avec les squatteurs, qui nous ont dit que ça n’allait pas se passer comme ça, que c’était chez eux et qu’il fallait qu’on parte. Les serrures ont été changées et les squatteurs ont acheté un chien pour monter la garde dans le jardin.
Les gendarmes ont évidemment été prévenus, mais sont impuissants. “Aux yeux de la loi, ils sont chez eux. Quand on rentre dans un logement, et que ce n’est pas contesté dans les 48 heures, les gens qui y sont, ils sont chez eux, même s’ils ne sont pas propriétaires”, explique Elodie.


"Si cela dure des années, je serai dans la rue"
Le couple fait part de ses angoisses face à l'avenir. Élodie et Laurent vont donc devoir s’engager dans d’interminables démarches administratives, avec un loyer et un crédit sur le dos. “D’un seul coup, tout s’effondre. C’est du rêve au cauchemar. Si cela dure des années, je serai dans la rue. Je n’arriverai pas à payer”, s'inquiète Laurent, qui vient tous les jours devant la maison afin de tenter d’entamer un dialogue avec les squatteurs, sans succès pour le moment.

www.lindependant.fr/2022/06/09/du-reve-au-cauchemar-un-couple-empeche-demmenager-en-decouvrant-que-sa-nouvelle-maison-est-squattee-10348245.php
Author : Boudiou 
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Date :    14-06-2022 18:12:28


et la femme qui loue pour une semaine son trois pièces , le couple avec un enfant changent les serrures et ne veulent plus partir ..


Author : AAAAclagazelle 
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Date :    30-06-2022 12:14:29


Samuel Paty : le père du tueur exerce toujours dans la sécurité

Lors d’une interview en 2021, le père d’Abdoullakh Anzorov, qui travaille dans la sécurité, s’était dit satisfait du crime de son fils, relate « Le Parisien ».

Dans une interview à un blog tchétchène, en juin 2021, Abuzayid Anzorov s'est dit « satisfait » du crime commis par son fils. Abdoullakh Anzorov, alors âgé de 18 ans, a été abattu par la police après avoir tué le professeur Samuel Paty aux abords du collège de Conflans-Sainte-Honorine en octobre 2020. Selon son assassin, l'enseignant en histoire-géographie était coupable d'avoir montré quelques jours auparavant des caricatures de Mahomet à ses élèves. Malgré des propos s'apparentant à de l'apologie du terrorisme, le père du terroriste d'origine tchétchène travaille toujours dans le secteur de la sécurité privée, comme le relate Le Parisien, jeudi 30 juin.

D'après le Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps), la carte professionnelle d'Abuzayid Anzorov est totalement légitime.

« On ne peut rien nous reprocher, nous consultons les fichiers de la police et ce monsieur n'est pas condamné, son casier est vierge », a fait savoir Cyrille Maillet auprès du Parisien, précisant avoir refusé par deux fois les demandes de carte professionnelle du fils Anzorov.
Ce dernier avait en effet plusieurs lignes à son casier judiciaire, notamment des violences et des dégradations quand il était mineur.

Une trentaine d'entreprises graviteraient autour de la famille d'Abdoullakh Anzorov, « mais depuis l'assassinat […] la direction nous a dit que c'était un sujet trop sensible », a ajouté un contrôleur du Cnaps auprès du journal, affirmant nier « ce qu'il se passe » au sein de ces structures ayant été en contact avec le terroriste.

www.lepoint.fr/societe/samuel-paty-le-pere-du-tueur-exerce-toujours-dans-la-securite-30-06-2022-2481619_23.php
Author : AAAAclagazelle 
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Date :    02-07-2022 11:14:29


Quand les obsédés du slip sacrifient les femmes pour sauver Dieu
CHRONIQUE.
Le niveau de droits accordés aux femmes est corrélé au degré de séparation entre les pouvoirs politique et religieux. La preuve aux États-Unis.

Il faut toujours se méfier des perdants en politique. Ceux que vous poussez vers la porte peuvent revenir par la fenêtre, provoquant des séismes insoupçonnés. Le gagnant n'est pas celui que vous croyez découvrir à l'issue d'une longue soirée électorale. Il arrive que le soi-disant dépité reprenne des couleurs avec la rapidité de l'éclair, avant même qu'on ait pris le temps de le consoler. Tel est le premier enseignement à retenir de cette complète volte-face de la Cour suprême américaine au sujet de l'avortement. Donald Trump s'en frotte les mains et évoque « la volonté de Dieu » pendant que le président Joe Biden, coincé dans son impuissance, dégaine… avec des mots, encore des mots, qualifiant ce revirement d'« erreur tragique » d'une idéologie « extrémiste ».

Que ce soit sur les armes à feu ou sur l'avortement, vous remarquerez que c'est toujours Trump qui a la main. Certains attribueront ce dénouement au hasard du simple fait que durant son mandat il a remplacé trois juges sortants. Certes, il y a des coïncidences qui orientent le destin. Il faut, cependant, bien avouer que l'activisme juridique de la droite évangéliste prenant pour cible les institutions de l'État fédéral depuis près de cinquante ans n'a jamais cessé. C'est dans le temps long que les changements se dessinent à travers un message cohérent porté par une vision sociétale.

Dieu, un joker qui remplace toutes les cartes
Autre paradoxe de ce positionnement de la plus haute juridiction du pays, c'est qu'elle oppose le « haut » au « bas », le « gouvernement des juges » fait désormais face au peuple. En effet, toutes les études signalent qu'une nette majorité de la population ne déborde pas d'enthousiasme à revisiter ce droit fondamental… à l'exception des obsédés du slip, qui prennent tous les jours le thé avec Dieu en tête-à-tête. Ceux-là n'hésiteront aucunement à sacrifier les femmes pour sauver Dieu. Dieu sert toujours d'alibi parfait au pouvoir absolu, à l'arbitraire, à la soif de sang. Dieu est un joker. Il remplace toutes les cartes. Il répond d'un coup à toutes les questions. Lorsqu'on cherche des « parce que » à des millions de « pourquoi », certains trouvent bien commode de pouvoir compter sur cette ombre géante. « Dieu est le seul être qui, pour régner, n'ait même pas besoin d'exister », disait Baudelaire.

Il est tellement reposant de croire que, quel que soit le problème, il y aura toujours quelqu'un, quelque part, pour venir nous sauver. Nous sauver de la souffrance, de la mort, de tout. Trouvez-moi un seul Dieu, un seul, qui ait sauvé les femmes. Il n'en existe pas. Là où il règne, le plaisir devient honteux ou coupable, les femmes sont la propriété des hommes et leur sexe est l'affaire de tous. Pour autant, la ligne de front n'est pas exactement celle qui sépare les deux sexes, avec les hommes d'un côté et les femmes de l'autre. La réalité est toujours plus complexe que la caricature que nous imposent les nouvelles radicalités du féminisme intersectionnel avec les éternelles victimes et les bourreaux par anticipation. Aux États-Unis comme ailleurs, la réponse ne peut être que politique.

Méfions-nous des indignations sélectives
Le référent religieux en politique et plus largement dans la vie publique devient une sérieuse menace à l'échelle internationale. C'est peu dire que les droits des femmes sont consubstantiels à la séparation des pouvoirs politique et religieux. Quel que soit notre point de chute sur cette planète, nous sommes confrontés à une montée de lait du puritanisme, du rigorisme religieux, du relativisme culturel, qui tend à détacher les luttes des unes de la destinée des autres.

Méfions-nous des indignations sélectives de celles qui crient (à juste titre) à la solidarité avec les femmes américaines et qui soutiennent, chez nous, la version balnéaire du voile intégral. Comment peut-on imaginer montrer la porte à Dieu et la tenir pour Allah ?

De l'autre côté de la Méditerranée, les femmes sont aussi interdites d'avortement. Certaines meurent sur une table de cuisine, les jambes écartées, une tige plantée dans l'utérus, dans la honte, l'indifférence et la solitude. Mais qui s'en soucie ?

En Afghanistan, il ne suffit plus aux talibans de déposséder les femmes de leurs corps, de verrouiller leur sexualité, de les dépouiller de leur identité et de les expurger de l'espace public, ils brandissent ces ombres couvertes des pieds à la tête comme des trophées. Qui en parle ?

C'est pourtant cette terrible régression qui rattrape les filles et les femmes au cœur même de nos villes en Europe. Inutile de faire semblant de ne rien voir. Cette énième tentative de déstabilisation de l'école avec des accoutrements de bigot en est une preuve concrète. Encore une autre.

Djemila Benhabib lepoint.fr

* Politologue et écrivaine, Djemila Benhabib travaille à Bruxelles au Centre d'action laïque (CAL). Elle est née à Kharkiv (Ukraine) et a grandi en Algérie, pays qu'elle a dû quitter en 1994 après une condamnation à mort du Front islamique du djihad armé. Elle s'est réfugiée avec sa famille d'abord en France, puis a vécu au Québec, où elle a milité en faveur d'une loi sur la laïcité de l'État. Autrice de plusieurs essais à succès, parmi lesquels Ma vie contre-Coran, cette infatigable lanceuse d'alerte a reçu d'innombrables récompenses internationales. Son dernier ouvrage : Islamophobie, mon œil ! (Kennes, 2022).
Author : AAAAclagazelle 
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Date :    02-08-2022 13:57:40


observatoire-immigration.fr/immigration-2022/
Author : AAAAclagazelle 
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Date :    03-09-2022 13:50:07


Un peu long , mais savoureux

Cachez ces tatouages que je ne saurais voir!
Un Français sur 5 est désormais tatoué, regrette notre contributeur
Charles Gassot -1 septembre 2022

Le règne de la laideur ne se cantonne plus aux paysages envahis par les éoliennes, ni aux villes nouvelles à l’architecture infâme où paradent trottinettes électriques et sont affichées les publicités les plus subversives. Les corps de nos contemporains se livrent, eux aussi, à une compétition inédite: la course au tatouage le plus hideux.
Vous pensiez partir en vacances l’esprit libre et dégagé. L’année a été rude mais vous avez tenu bon ! Vous aviez réservé un endroit de rêve pour vous ressourcer, vous imprégner de quiétude et de beauté…

C’était sans compter sur vos contemporains qui ont décidé de vous pourrir la vie – la vue – en étalant leur laideur sans complexe, de la plage au supermarché, avec leurs tatouages. En en mettant partout, sur les bras, sur le cou et jusque derrière les cuisses, ils imposent l’immonde à tous, et hissent la laideur au rang de fierté.

La course au tatoo le plus hideux
Le tatouage a démarré discrètement. Il était porté comme accessoire élégant par quelques art directors à la pointe de la mode, par des sportifs aussitôt suivis par des top modèles. Aujourd’hui, c’est la course pour avoir le plus hideux, le plus criard, le plus voyant, et l’attitude de ceux qui le portent va de pair, elle est agressive et vindicative. Tous s’impriment le corps : serveurs, maçons, barmen, banquiers… même les mamies s’y mettent ! Dans le monde d’avant, on avait droit au « Marcel », le gilet de corps des prolos de l’époque. Il arrivait aussi, parfois, que l’un d’entre eux affiche un logo Renault sur sa poitrine. Son « Marcel », l’ouvrier le portait comme une seconde peau et exhibait volontiers la carte du PC qui allait avec. Désormais, nos tatoués sont des créatifs qui déclinent sur leurs chairs motifs ethniques, personnages de mangas et dates de naissance en chiffres romains. Mais tant d’efforts – de souffrances ? – ne rendent pas plus attrayante une anatomie disgracieuse.

Bon goût et tendance
La file d’attente, à la caisse du supermarché, permet d’admirer à loisir ces œuvres qui font mal aux yeux. Une contemplation de l’horreur qui se poursuit, trop souvent, par le contenu des caddies qui débordent de produits industriels infâmes. Comment ce mauvais goût s’est-il imposé si vite ? J’écris « goût », mais ce mot, associé à une certaine idée de l’esthétique, ne peut dépeindre ce navrant spectacle.

« Tendance » serait peut-être plus adaptée, et la courbe de celle-ci dessine malheureusement celle de la paupérisation de notre société. Quel est le futur de ces jeunes enfants de couples tatoués, assis entre les bouteilles de coca et les pizzas surgelées, quel endoctrinement leur est asséné, quelle culture leur est transmise ? Les tristes statistiques l’attestent : aujourd’hui, quand on naît pauvre, on le reste. Les footballeurs seraient des exemples à suivre. Mais que chacun tente de leur ressembler, les millions d’euros et l’exercice physique en moins, constitue une énigme. Ceux qui sont heurtés par ce spectacle dégradant se noient dans le désenchantement puisqu’il est interdit de le critiquer. Ces corps devenus supports revendicatifs ne peuvent être attaqués car ils sont beaux, nous dit-on en plus ! De guerre lasse, combien de parents éclairés ont renoncé d’essayer de convaincre leurs enfants de ne pas se souiller de crétines inscriptions ?

Pas peur des discriminations
Dans les années soixante, des jeunes filles fraîches et radieuses marchaient d’un pas léger sur les trottoirs de Paris et d’ailleurs, vêtues de robes à carreaux Vichy. Le monde leur appartenait. Jacques Demy et ses Demoiselles de Rochefort doivent se retourner dans leur tombe.

Ce sont pourtant ces femmes ravissantes, devenues de jolies grand-mères, qui ont engendré ces mutants qui aiment s’enlaidir à souhait.
On est bien loin de la révolte des Sex Pistols ou de l’élégance iconoclaste et créative de David Bowie. L’immersion est un concept à la mode. Qu’à cela ne tienne, nos jeunes tatoués ont choisi de s’immerger dans le rejet absolu d’eux-mêmes. Pensent-ils à leur avenir et à travailler ? Toute entreprise recherche de nouveaux collaborateurs. Elle veut engager des jeunes gens dynamiques et plein d’idées. Certes, les diplômes ont leur importance, mais c’est avant tout la motivation, l’énergie et… la bonne mine qui priment. C’est là que ça se gâte. Que se passe-t-il lorsqu’un employeur potentiel découvre des tatouages qui s’échappent d’une chemise pour aller s’étaler jusque sur les mains ? Peut-il refuser un tatoué sans être condamné pour discrimination ?

Le PDL (parti du laid) est aujourd’hui le plus grand parti de France. Peut-on imaginer une contre-offensive de l’élégance, du beau et de la sympathie ? Le combat s’annonce difficile. Le cinéma français est devenu inodore, sans passion. Où est passée notre illustre exception culturelle ? Les romans sont insipides, les chaînes d’info en continu et les réseaux sociaux ont colonisé les cerveaux pour y supplanter les idées, les révoltes, les inspirations et la curiosité. Existe-t-il encore des scénaristes, des réalisateurs et des producteurs qui auraient le culot d’inverser la tendance ? Que sont devenus l’humour et le spirituel ? L’élégance est une discrète, elle sait rester en retrait, voire se cacher. Certains voudraient lui casser la gueule pour lui faire payer ce qu’ils prennent pour de l’arrogance. Si elle est votre compagne de tous les jours et qu’elle vous dicte votre style vestimentaire, votre langage, votre attitude dans la vie, surtout, sachez avoir le regard fuyant : vous éviterez celui, haineux, de ceux que la seule idée du chic et de la distinction rend fous !

Il serait ainsi malvenu d’évoquer, pour donner l’exemple, Givenchy ou Saint Laurent, on me reprocherait de ne parler que des riches. Ce n’est pourtant pas une question d’argent : les plus grands de la haute couture ont tous été copiés par l’industrie du prêt-à-porter, accessible à tous. Où est le jeune créateur qui saura séduire nos tatoués, en créant des modèles qui les ouvrira à autre chose qu’à la laideur ? S’il existe, il va partir de loin et je lui souhaite bon courage, d’autant que la pub et les médias ne sont pas prêts à faire barrage au moche. Je suis heureux qu’Azzedine Alaïa et Issey Miyake soient morts, ils n’ont plus à vivre dans ce monde de désolation.

causeur.fr

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