Passer un bon moment sans se prendre la tête,

écouter de la musique classique, de l'opéra, chanter.

J'aime la nature, les randonnées, les animaux.

J'aime bien lire, en ce moment je lis les romans de Claude Michelet, la tétralogie des grives aux loups, saga familiale paysanne corrézienne.

Vivre comme si ce jour là était le dernier...parce que l'on ne connait pas la suite

Je veux pas devenir pessimiste mais la perte d'êtres chers nous rappelle chaque jour, que la vie tient à un fil, c'est pourquoi il ne faut pas se prendre la tête...

 Un être manque tout est dépeuplé... l'atmosphère est dure à vivre...voire... pesante.

Mais il faut foncer ne pas se laisser abattre, s'inventer un nouveau moi, se créer de nouvelles sorties, prendre d'autres initiatives, peupler son nouveau moi, peupler son nouveau vide...aussi

Devenir créatif...se trouver d'autres passions pour changer d'air...bouée de sauvetage mais pas que... 

 Se réinventer...sans se perdre...tout est là..la subtilité...l’équilibre....le bon dosage...à trouver !

S'émouvoir...rester un instant contemplatif...devant la nature qui nous entoure, fleurs, plantes, arbres, arbustes...papillons, insectes....

Je change d'idée...

 Heureusement aussi,  pour ceux qui peuvent et qui aiment, nous avons nos trente millions d’amis...

 chien, chat....qui nous rendent la vie plus douce...par leurs espiègleries....enfin....pas trop quand même.... »il faut pas pousser mémé dans les orties »

Et ce sacré Hugues Aufray avec sa chanson de mon prénom : CELINE

Paroles :

Dis-moi, Céline, les années ont passé

Pourquoi, n'as-tu jamais pensé à te marier ?

De toutes mes soeurs qui vivaient ici

Tu es la seule sans mari

Non, non, non ne rougis pas, non, ne rougis pas

Tu as, tu as toujours de beaux yeux

Ne rougis pas, non, ne rougis pas

Tu aurais pu rendre un homme heureux

 Dis-moi, Céline, toi qui est notre aînée

Toi qui fus notre mère, toi qui l'as remplacée

N'as-tu vécu pour nous autrefois

Que sans jamais penser à toi ?

Non, non, non, ne rougis pas, non, ne rougis pas

Tu as, tu as toujours de beaux yeux

Ne rougis pas, non, ne rougis pas

Tu aurais pu rendre un homme heureux

Dis-moi, Céline, qu'est-il donc devenu

Ce gentil fiancé qu'on n'a jamais revu ?

Est-c' pour ne pas nous abandonner

Que tu l'as laissé s'en aller ?

Non, non, non, ne rougis pas, non, ne rougis pas

Tu as, tu as toujours de beaux yeux

Ne rougis pas, non, ne rougis pas

Tu aurais pu rendre un homme heureux

Mais non, Céline, ta vie n'est pas perdue

Nous sommes les enfants que tu n'as jamais eus

Il y a longtemps que je le savais

Et je ne t'oublierai jamais

Ne pleure pas, non, ne pleure pas

Tu as toujours les yeux d'autrefois

Ne pleure pas, non, ne pleure pas

Nous resterons toujours près de toi

Nous resterons toujours près de toi

                                                               Source : LyricFind.